Je mange moins de viande, (et mieux !)

  • Bon pour le porte-monaie
  • Très impactant

Saviez-vous que végétaliser son alimentation, c’est l’un des moyens les plus efficaces pour réduire son empreinte carbone ? L’élevage compte pour 14,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre dans le monde (émissions de méthane, besoin d’espaces pour faire pousser la nourriture du bétail, transport…). En plus ça coûte cher. En France, nous allouons 24 % de notre budget alimentation à la viande !

Les ressources pour vous accompagner

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  • Je prépare un goûter zéro-déchet

    Pour le traditionnel quatre-heures, privilégiez les gâteaux sans emballages (vrac, fait maison, boulangerie), des fruits de saison, ou des compotes à boire rechargeables. On glisse le tout dans une boîte à goûter réutilisable à customiser sans modération pour crâner à la récré.

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  • Je découvre de nouvelles recettes

    Surprenez vos papilles et celles de vos convives avec des recettes originales, végétariennes, locales et de saison. Retrouvez l’inspiration.

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  • J'achète en direct auprès des producteurs

    S’approvisionner en direct chez son producteur c’est la garantie de sa provenance, la sélection de la qualité de ses aliments et la bonne rémunération du travail tout en limitant la pollution de l’air. Gagnant-gagnant !

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  • J'achète en vrac

    Qu’est ce qui permet de produire moins de déchets, acheter pile poil la bonne quantité et faire des économies ? C’est le vrac ! Vous réalisez 4 à 22 % d’économies lorsque vous achetez des produits bio en vrac plutôt que des produits bio emballés.

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  • J'achète des aliments bio, locaux et de saison

    En choisissant des produits bios, locaux et de saison, vous agissez concrètement pour votre santé et la planète. Aujourd’hui, il est possible d’acheter une tomate ou un ananas qui se conservent longtemps, sur tous les étals, toute l’année. Mais une telle offre ne tombe pas du ciel. Cela implique de cultiver les fruits et les légumes avec des engrais, pesticides et OGM, sous serres chauffées (10 à 20 fois plus d’émissions que la culture en plein champ), et de les importer depuis l'autre bout du monde.

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